Randonnée

La couleur en randonnée

Une pratique en vogue

La randonnée a le vent en poupe depuis des années. Elle se situe entre la pratique sportive et le loisir, s’adaptant à chacun, jeunes et moins jeunes, permettant aussi de belles performances à tous ceux pour lesquels le défi est un facteur important. Elle permet de découvrir la nature, de respirer l’air pur, de garder un esprit d’aventure et surtout la forme.

Des chemins balisés

Devant l’engouement d’une foule grandissante pour les sentiers de montagnes, de forêts, de plaines, l’aménagement et le balisage s’est organisé, explicite pour les promeneurs, rendant compte du niveau de difficulté de chaque itinéraire. Il faut toutefois être capable de le lire, d’autant que le balisage ne s’effectue pas toujours sous la forme d’un panneau.

Les codes couleur en question

Une randonnée verte est facile pour tout public. Elle ne dépasse pas les 4h de marche avec un dénivelé de 400 m. La bleue propose un rythme moyen pour 700 m de dénivelé maxi et quelque 5 h de balade. La rouge est physique et technique, requérant parfois de l’escalade, avec 7h soutenues. La mauve est très exigeante et la noire plus difficile que toutes avec plus de 10h.

Les GR

Ces chemins de grandes randonnées sont matérialisés par des traits de couleurs rouge et blanc, que l’on retrouve sur une pierre ou sur l’écorce d’un arbre. Ils se caractérisent par un itinéraire linéaire d’un point. Les GRDP, grandes randonnées de pays, sont marqués en jaune et rouge, et présentent une boucle. Les PR, petites randonnées sont matérialisées en jaune.

Matérialisation multiple

Toutes ces couleurs sont assez vives pour être apposées sur différents supports y compris le sol, qui sont donc les panneaux en bois, les marquages sur divers supports, les monticules de pierres, les poteaux, les rubans. Certes il en existe divers moyens mais il faut rester vigilant à chaque changement de direction pour ne pas se perdre ou emprunter une voie qui rallonge.